Astralités des mystiques

Les personnes qui ont vécu des expériences mystiques sont beaucoup plus nombreuses que l’on ne croit. Pas besoin forcément d’être Saint Jean de la Croix ou Sainte Thérèse d’Avila pour atteindre de tels états. Ce que des saints reconnus comme tels par l’Eglise ont vécu, des contemporains le vivent aussi.  Selon leurs témoignages,  ces expériences surviennent à l’improviste. Et ce sont les mêmes impressions que ces personnes décrivent : détente, soulagement, apaisement, résolution des conflits intérieurs, paix avec autrui et avec l’univers, disparition de tout sentiment d’orgueil ou de honte, évanouissement de toute crainte de la mort et de l’avenir, dissolution du moi dans une certaine immensité au-delà du temps et de l’espace, conviction que tout est bien en dépit de sa propre misère et de l’omniprésence du mal.

 

Trouve-t-on des configurations astrologiques spécifiques dans les thèmes des personnes qui ont vécu de telles expériences ? Il est souvent dit que les mystiques appartiennent aux derniers signes du zodiaque et tout particulièrement au signe des Poissons. Il sera facile de vérifier cette notion sous-tendue vraisemblablement  par l’idée que les premiers signes du zodiaque sont en rapport avec notre côté instinctif et sensitif tandis que  les derniers signes correspondent à la sublimation de l’instinct  et la spiritualisation de la matière. Les corrélations les plus souvent proposées dans les manuels astrologiques sont liées soit à une maison soit à une planète. Henri Gouchon, par exemple, associe le  mysticisme à la maison IX (plusieurs planètes en maison IX ou Soleil en IX). Ce lien à la maison IX  vient probablement du fait que pour les astrologues grecs cette maison dénommée « Théos » (c’est-à-dire Dieu) était d’essence solaire. Cette maison dans un rapport harmonique de trigone avec la première maison  symbolisait ce qui était d’ordre spirituel. Le même Henri Gouchon dans son « Dictionnaire astrologique »  fait correspondre le mysticisme à une planète récemment découverte, la planète Neptune, planète maîtresse du signe des Poissons.

 

 

Je vous propose de vérifier sur quelques thèmes de personnes qui ont vécu des expériences mystiques incontestables si ces correspondances sont confirmées. Outre l’analyse du thème natal, nous regarderons quand c’est possible les configurations  présentes aux moments d’expériences mystiques.

 

Thérèse d’Avila est née le 28 mars 1515 à 5h30 : Vénus en Poissons vient de se lever mais il faut surtout remarquer la présence d’Uranus au milieu de l’amas Bélier en trigone de Pluton au Milieu du Ciel.  Thérèse entra à 20 ans au carmel d’Avila. Les vingt premières années se passent sans événements très notables. Ce sont vingt ans de désirs et d’efforts impuissants pour donner vraiment sa vie à Dieu. Et puis, Thérèse, fait soudain la brûlante rencontre de Jésus crucifié. Il devient son maître et son ami, il lui parle, il se fait voir. Thérèse veut faire quelque chose pour Dieu : elle cherche à mener vraiment sa vie de carmélite, à partager son expérience avec d’autres. Nous avons bien là les phases clés de la planète Uranus : premier carré à 20 ans et opposition à 40 ans. Nous possédons la date exacte de la fondation du premier carmel, le 24 août 1562.   On note dans la Révolution solaire de cette année-là (Thérèse a 47 ans) une triple conjonction Jupiter, Neptune et Mars sur la conjonction Mars/Jupiter de naissance. C’est la première fois que la conjonction  Mars-Jupiter se reforme  le jour de l’anniversaire au même endroit qu’à la naissance. En réalité l’élément « Feu » si présent au moment de la fondation du premier Carmel caractérise tout à fait l’imaginaire de Thérèse. En témoigne particulièrement le récit de l’une de ses visions : « J’apercevais près de moi un ange ; à son visage enflammé on reconnaissait un de ces esprits d’une très haute hiérarchie qui ne sont que flamme et amour. Je voyais dans les mains de cet ange un long dard qui était d’or et dont la pointe de fer avait à l’extrémité un peu de feu. De temps en temps, il le plongeait au travers de mon cœur et l’enfonçait jusqu’aux entrailles ; en le retirant il semblait me les emporter avec ce dard et me laissait toute embrasée d’amour de Dieu. Cet indicible martyre me faisait goûter les plus suaves délices. »

On ne note rien de particulier en maison IX. Ce qui est caractéristique, en revanche, c’est cette dominante Bélier très marquée et l’angularité de deux planètes invisibles Uranus et Pluton.

 

 

Poursuivons avec le thème de Sainte Bernadette. Ce qui frappe dans le thème de cette sainte née le 7 janvier 1844 à 14h, c’est l’amas dans les signes d’hiver (huit planètes s’y trouvent dont trois en maison IX). Il faut noter l’angularité de trois planètes féminines, Lune, Vénus et Neptune.

 

 

Elle est la fille aînée d’un meunier ruiné que l’extrême pauvreté fera injustement jeter en prison. Elle va connaître la maladie, la faim, l’exclusion, l’incertitude des lendemains, le mépris de la part de ceux qui ont tout. A 14 ans, elle sait à peine lire et écrire lorsque la Vierge lui apparaît. Au cœur de cette réalité, Bernadette fait l’expérience inattendue de la rencontre avec  » La Dame de Massabielle  » : « C’est parce que j’étais la plus pauvre et la plus ignorante que la Sainte Vierge m’a choisie « 

Ainsi, le 11 février 1858, tout a commencé par un bruit comme un coup de vent. La Vierge Marie apparaît pour la première fois à Bernadette à la Grotte de Massabielle, à Lourdes.

 » Voulez-vous me faire la grâce de venir ici quinze jours? « 
Bernadette a dit  » oui « 

Le thème de la première apparition confirme cette importance de Neptune puisque Neptune transite Mars tandis que le Soleil et Vénus transitent Neptune.

 

 

 

Poursuivons notre quête en examinant le thème de Charles de Foucauld dont nous connaissons au jour près la date de sa conversion. Une structure de carré dans les signes mutables constitue la dominante incontestable de ce thème du 15 Septembre 1858 à 17h. Il faut mentionner également les deux planètes maîtresses du son ascendant Verseau ( Saturne à son coucher et Uranus à sa culmination inférieure) qui signent le caractère entier et déterminé de ce grand mystique. Par ailleurs Mars et Jupiter jouent incontestablement un rôle dans cette structure de carré  mais la planète Neptune en Poissons, étant la planète la plus lente de la structure de carré, peut être considérée comme la planète clé du thème.

 

 

Cet orphelin de père et de mère à 6 ans a été d’une part élevé par un grand père militaire et a d’autre part subi l’influence d’une cousine avec laquelle il correspondra pendant près de trente ans. Il vit d’abord la symbolique de Mars et de Jupiter. C’est probablement par identification au grand père qu’à l’âge de 18 ans il a embrassé la carrière militaire. La mort de son grand père, un an plus tard, l’a profondément bouleversé. A 22 ans il découvre l’Algérie – il sera toute sa vie fasciné  par les terres de l’Islam. Un moment il est tenté par l’Islam mais en fait la religion orientale le ramène à sa tradition. Sa cousine le met alors en contact avec l’abbé Huvelin. Il redécouvre grâce à ce prêtre le catholicisme et obéit le 27 octobre 1886 à son injonction : « Confessez vous et communiez ». Il parviendra en 1905 à réaliser son rêve : vivre dans le Hoggar.

 

 

Ainsi, dans le cas de Charles de Foucauld, pas de maison IX importante mais Uranus est angulaire et Neptune s’impose comme la planète la plus importante de la structure de carré. Le 27 octobre 1886, le jour de la conversion Pluton transite Uranus natal tandis que Mars repasse sur lui-même. L’interprétation de ce transit n’est pas évident. Celle donnée par Jean-Pierre Nicola est tout à fait éclairante. Pluton n’étant pas dominant dans le thème, ce transit difficile peut donner lieu à des vécus très différents : soit il peut être source d’aveuglement ; soit, comme cela a été le cas ici,  il peut correspondre à une illumination.

 

 

 

Le thème de Pierre Teilhard de Chardin né le 1er mai 1881 à 7h à Orcines (63) comporte comme le thème de Bernadette une Lune angulaire. On note en outre une concentration de planètes dans les signes de printemps autour d’une conjonction Soleil-Neptune en Taureau et en maison XII. Dès son plus jeune âge Teilhard est fasciné par la pierre, le  « minéral ».  Il deviendra à la fois ce scientifique qui n’a de cesse d’approfondir la géologie et la paléontologie et  ce mystique pour qui la présence de Dieu est au cœur de la Matière. Il se sent la vocation de réconcilier la religion et la science.

 

Voici comment dans une superbe prière ce jésuite mort le jour de Pâques 1955 nous a décrit le visage de son Dieu « Seigneur de la Consistance et de l’Union, vous dont la marque de reconnaissance et l’essence sont de pouvoir croître indéfiniment, sans déformation ni rupture, à la mesure de la mystérieuse Matière dont vous occupez le Coeur et contrôlez en dernier ressort tous les mouvements« .

Là encore pas d’occupation de la Maison IX. En revanche on note l’importance de Neptune mais aussi de la Lune et de Vénus.

 

 

 

Dans le thème de Sainte Thérèse de Lisieux (2 janvier 1873 à 23h30 à Alençon), on note une dominante hivernale. D’un côté  une incontestable dominante saturnienne. De l’autre une composante Poissons. Le jour de Noël 1886 Thérèse vit une forte expérience. Elle fait l’expérience de la charité. Saturne est opposé à lui-même tandis que Neptune effectue un trigone avec Saturne. Voici le récit de cette expérience très marquée par l’imaginaire Neptune/Poissons :

En cette nuit de lumière commença la troisième partie de ma vie, la plus belle de toutes, la plus remplie des grâces du ciel… En un instant, l’ouvrage que je n’avais pu faire en dix ans, Jésus le fit se contentant de ma bonne volonté qui jamais ne me fit défaut. Comme ses apôtres, je pouvais lui dire : « Seigneur, j’ai pêché toute la nuit sans rien prendre. » Plus miséricordieux encore pour moi qu’il ne le fut pour ses disciples, Jésus prit lui-même le filet, le jeta et le remplit de poissons… Il fit de moi un pêcheur d’âmes, je sentis un grand désir de travailler à la conversion des pécheurs, désir que je n’avais pas senti aussi vivement… Je sentis en un mot la charité entrer dans mon cœur, le besoin de m’oublier pour faire plaisir et depuis lors je fus heureuse !…

 

 

Contrairement à Charles de Foucauld ou Sainte Thérèse de Lisieux qui sont mystiques contemplatifs, il est des mystiques profondément engagés dans l’action. L’Abbé Pierre en est l’exemple typique. Ce Lion né le 5 août 1912 à 11h à Lyon est à la fois très marqué par la Lune et par la triple dominante de la Lune à son coucher, de Neptune à sa culmination supérieure et d’Uranus à sa culmination inférieure. Il est intéressant de regarder le ciel de l’appel d’hiver 54 puisque que les mots de cet appel ont été inspirés par la foi de ce mystique. Ce jour-là, le 1er février 1954,  Uranus passe sur Neptune et Neptune passe sur l’ascendant.

 

 

Voici maintenant le thème d’André Chouraqui, né le 11 août 1917 à midi à Oran. Ce thème se caractérise par un amas dans les signes d’été avec la présence de l’angularité de la conjonction Saturne/Neptune à sa culmination supérieure. Lors du congrès consacré à Neptune Yves Haumont nous a appris qu’André Chouraqui a traduit seul en deux ans (du 10 avril 1972 au 14 août 1974 a-t-il précisé pour les astrologues), les trois parties de la Bible hébraïque (Pentateuque, Prophètes, Hagiographes), et les quatre Evangiles (Les Quatre Annonces). 

« Traduire la Bible hébraïque n’avait pas été chez moi, je l’ai dit, une décision délibérée : le projet s’était imposé à moi et, quand l’heure en était venue, ma traduction avait jailli de ma plume pendant les vingt-huit mois où j’en écrivais le premier jet, comme en état d’extase » (p. 463).

 

 

Le thème du 10 avril 1972 – c’est à dire celui du jour où il a commencé sa traduction – est caractérisé par l’opposition Saturne-Neptune qui actualise la conjonction Saturne/Neptune de naissance. Neptune forme en outre un trigone avec lui-même et Saturne un sextil avec lui-même.

 

 

Voici maintenant le thème d’Eric Emmanuel Schmitt né le 28 mars 1960 à 3h15 à Lyon. Cela peut surprendre que je vous cite cet écrivain comme mystique. Mais cet agrégé de philo dont j’ai tout particulièrement apprécié « Odette tout le monde »   ou « Oscar et la dame en rose » a vécu en 1989 une expérience mystique qui a bouleversé sa vie.

 

« J’étais parti dans le Hoggar avec des amis. Nous avions gravi le mont Tahar, le plus haut sommet et j’ai voulu redescendre le premier. J’ai vite compris que je ne prenais pas le bon chemin mais j’ai poursuivi, irrésistiblement séduit par l’idée de me perdre. Quand la nuit et le froid sont tombés, comme je n’avais rien, je me suis enterré dans le sable. Alors que j’aurai dû avoir peur, cette nuit de solitude sous la voûte étoilée a été extraordinaire. J’ai éprouvé le sentiment de l’Absolu et, avec la certitude qu’un Ordre, une intelligence, veille sur nous, et que, dans cet ordre, j’ai été créé, voulu. Et puis la même phrase occupait mes pensées : ‘ Tout est justifié.’ Cette phrase était une réponse à toutes mes interrogations sur le Mal. Je n’avais plus à me scandaliser de l’incompréhensible. Je pouvais accepter la mort comme une bonne surprise… Cette nuit fut aussi une expérience d’éternité. Cet instant dilaté m’a rendu incroyablement fort : je sais dorénavant qu’à l’intérieur de moi il y a plus que moi, pour reprendre l’expression de Saint-Augustin. Cette nuit mystique reste une expérience fondatrice. C’était le 4 février 1989. C’est à partir de cette date que j’ai pu écrire. Jusque-là, ce que j’écrivais me paraissait vain. Peu de temps après, j’ai rédigé ma première pièce, « La Nuit de Valognes » et, depuis, ne me suis guère arrêté. Cette nuit dans le désert m’a révélé ce pourquoi j’étais fait : j’étais un scribe. »

 

 

Le thème natal d’Eric Emmanuel Schmitt est certes marqué par une tonalité Bélier mais il est surtout dominé par Saturne Capricorne à son lever et Neptune Scorpion à sa culmination supérieure. Encore une fois Neptune. Et sa grande expérience mystique a lieu lorsque les deux planètes dominantes Saturne et Neptune se retrouvent ensemble sur Saturne natal.

 

 

Vous avez sans doute entendu parler de Marthe Robin, née le 13 mars 1902 à 17h à Châteauneuf de Galaure (Drôme).Ses parents sont de modestes paysans, non pratiquants. Quand elle a 16 ans, Marthe est atteinte d’une maladie foudroyante. Pendant dix ans, espoirs de guérison et rechutes désespérantes se succèdent. En 1928, sa vie bascule. Des prêtres, de passage à la paroisse du village, viennent la visiter. Elle se confesse et communie. Elle comprend que ses souffrances, vécues avec Dieu et offertes, peuvent être fécondes. 


« Après des années d’angoisse, après bien des épreuves physiques et morales, j’ai osé, j’ai choisi le Christ » dit-elle.

Quelles sont les dominantes du thème de cette femme qui vivra alitée pendant plus de 50 ans, en état de prière permanent, mangeant et buvant très peu. Six planètes dans les signes d’hiver. Les planètes Uranus et Pluton sont angulaires avec Soleil-Mars angulaire en Poissons au carré de Neptune. Quand, à 26 ans, elle vit une expérience extraordinaire Saturne est en conjonction d’Uranus, au carré du Soleil-Poissons natal et à l’opposition de Neptune.

 

 

Intéressant de jeter un œil sur le thème d’Arnaud Desjardins.  Ce journaliste de la télévision est né à Paris le 18 juin 1925 à 10h35. Il a réalisé de magnifiques films sur les maîtres spirituels contemporains du bouddhisme, de l’hindouisme et du soufisme. Une Lune Taureau MC au carré de Neptune en maison XII caractérise son thème et au moment de sa rencontre avec son maître swami Prajnanpad, Neptune s’approche du Fond du Ciel.

 

 

J’aimerai terminer en évoquant la figure de Graf Dürckheim ce maître occidental qui fut un véritable mystique et qui a joué un rôle important dans la destinée de beaucoup d’occidentaux.

 

« De noblesse allemande, le comte Dürckheim est né le 24 octobre 1896 à 12h à Munich dans une famille chrétienne. Son thème est marqué par la dominante du Soleil et de Mars mais aussi par celle de Vénus, d’Uranus et de Pluton. Très jeune, il est fasciné par le mystère. Après la guerre, à 24 ans, alors qu’il se trouve dans l’atelier du peintre Willi Geiger à Munich, il entend sa future épouse, Enja von Hattingen, lire à haute voix le onzième verset du Tao te King de Lao-Tseu. À cet instant, le voile se déchire, il s’éveille à une autre réalité. Il se sent empli d’une grâce extraordinaire qui le comble de joie et le plonge dans un grand silence.

 

Graf Durckeim a découvert sa vocation. Il forme un petit groupe de recherche, le Quatuor, destiné à mettre en oeuvre une certaine pratique spirituelle comme des exercices en silence et d’assise méditative.

 

Ce qui a toujours préoccupé Graf  Dürckheim c’est l’Homme dans sa profondeur, c’est-à-dire ce qui en l’homme est en deçà ou au-delà de toutes différences. Et cela en acceptant chacun dans sa différence. Selon lui : “L’homme est prédisposé à l’expérience de l’Être, non parce qu’il est chrétien ou bouddhiste, mais parce qu’il est un Homme. C’est en cette qualité qu’il a part à l’Être surnaturel par son Être essentiel.

 

Que conclure de ces quelques observations ?

 D’abord cette idée qu’il y ait chez les mystiques un signe privilégié, – voire une saison privilégiée – n’est pas fondée. Certes parmi les exemples que nous avons cités nous avons trouvé des exemples de mystiques nés sous un signe d’hiver ou sous le signe des Poissons mais tous les thèmes n’ont pas cette valorisation. Il y en a même un certain nombre qui sont nés au printemps, saison qu’on pouvait croire peu propice aux mystiques. De même la présence du Soleil ou des planètes en maison IX n’est pas confirmée. En revanche, si on se tourne vers les planètes on trouve une explication. On observe dans tous les cas la présence d’une planète féminine (Lune, Vénus ou Neptune) et d’une planète invisible (Uranus, Neptune ou Pluton). Et si  Neptune semble jouer un rôle dans une majorité de thèmes, c’est probablement parce que cette planète est à la fois féminine et invisible.

 

 

Bibliographie

Chouraqui A., L’amour fort comme la mort, Le Rocher

Dürckheim K.G., La percée de l’Être ou les étapes de la maturité, Le Courrier du Livre

Gouchon H., Dictionnaire astrologique, Dervy-Livres

Hulin M., La mystique sauvage, PUF

Maistre J., Mystique et féminité, essaie de psychanalyse socio-historique, Paris, CERF

www.eric-emmanuel-schmitt.com : Site d’Eric-Emmanuel Schmitt

Texte publié dans les actes du congrès Source-Sep Hermès 2008 

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Yves Lenoble