Jean-Pierre NICOLA
fondateur de l'astrologie conditionaliste
Jean-Pierre Nicola est à mon avis l’un des plus importants astrologues français du XXe siècle. Il s’est efforcé de redonner à l’astrologie ses fondements astronomiques. En témoignent ses différentes innovations : notamment la théorie des âges, le système R.E.T. et le zodiaque photopériodique. A la suite de Ptolémée et de Kepler il affirme que l’interprétation d’un thème doit toujours tenir compte de l‘hérédité, de l’éducation, du milieu social et culturel, etc.
Il est né le 8 mai 1929 à Nice à 8h selon l’état-civil (Ascendant Cancer). Lui-même a rectifié son thème à 7h45, ce qui lui donne un Ascendant Gémeaux.
Il découvre l’astrologie à l’adolescence et s’intéresse en autodidacte aux sciences du non-vivant (astronomie) comme aux sciences du vivant (biologie, psychologie, sociologie) afin d’établir des liens entre les horloges simples du non-vivant et les horloges plus complexes du vivant. Il ne croit pas aux statistiques pour établir ces liens car elles ne tiennent pas suffisamment compte de la complexité du rapport Homme-Ciel. En revanche il s’essaie à définir des règles et conditions de relation entre les sciences du vivant et celles du non-vivant.
Il écrit au début des années 60 un cours par correspondance et publie son premier livre La condition solaire en 1965. Ce livre peut être considéré comme le manifeste de l’astrologie conditionaliste.
Par ailleurs, quand le Centre International d’Astrologie envisage en 1970 la création du CEFA (Centre d’Enseignement et de Formation à l’Astrologie) il répond favorablement à cette proposition comme le feront également Régine Ruet, Jacques Berthon et Paul Colombet.
Il publie au Seuil en 1977 L’astrologie moderne. Ce livre reprend et explicite les acquis de l’astrologie conditionaliste.
il fonde en 1980 le COMAC (Centre d’Organisation des Méthodes d’Astrologie Conditionaliste). Dès lors ce courant commence à prendre forme.
Il publie ensuite aux éditions Tchou quatre livres remarquables : le Grand Livre de l’Astrologue (1983), Pluton (1985), Neptune (1987), le Grand livre des prévisions (1992).
Il coécrit en 1986 avec Bernard Blanchet, Philippe Pinchon et Richard Pellard l’Astrologie universelle. C’est un livre sur les signes du zodiaque. Sont innovantes et tout à fait justes les six descriptions de chaque signe en fonction des familles du R.E.T.
Il est possible de suivre l’évolution de la pensée de JP Nicola en lisant ses nombreux articles parus successivement dans les Cahiers Astrologiques (de 1961 à 1965 dans les n°90, 95, 97, 101, 105, 108 et 116), l’Astrologue (de 1969 à 1970 dans les n° 1 à 3 et 6 à 11) puis à partir de 1980 dans la revue du COMAC.
On a souvent reproché à Jean-Pierre Nicola lors de ses interventions dans les congrès, d’être trop théorique et abstrait. Mais fort heureusement il a écrit de nombreux articles de vulgarisation dans les revues Horoscope, Astrologie Pratique. Il a également écrit de nombreux textes d’interprétation de thèmes que Françoise Hardy lisait à la radio, textes publiés aux Editions du Rocher/Radio Monte Carlo sous le titre Les Signes du destin.
Tout comme pour Claire Santagostini, la publication du Traité pratique d’astrologie d’André Barbault joua un rôle de déclic pour JP Nicola. Sans nier les éléments intéressants de ce traité – par exemple, l’idée de la dominante par les planètes reliées aux angles ou aux luminaires -, JP Nicola estime dangereuse l’assimilation de l’astrologique au psychologique. La référence au symbolisme et à la psychanalyse le gêne aussi car, à ses yeux, le déterminisme astral n’est pas psychologique mais biologique. Il n’approuve pas non plus le recours à toutes sortes de typologies différentes ; c’est, à son avis, du bricolage.
L’astrologie moderne, d’après JP Nicola, se doit de trouver un fondement plus solide. Le référentiel astronomique d’une part et le référentiel biologique d’autre part lui semblent composer la clef recherchée. Nicola structure l’humain par l’astronomique, le déterminisme astral se situant chez l’homme au niveau biologique. Ainsi, ce déterminisme devra être modulé, selon les personnes, en fonction de l’apport des autres déterminismes (psychologique, sociologique, ethnologique, etc.), d’où le nom d’astrologie conditionaliste donné par JP Nicola à son astrologie.
A partir d’un même déterminisme biologique, des destinées complètement différentes peuvent surgir. Ce que Nicola appelle le mécanisme d’extinction typique d’une influence capricornienne peut aussi bien donner un Mao-Tse-Toung qui élimine froidement tous ses rivaux qu’un Jean Kepler qui élimine toutes les fausses explications relatives au mouvement des planètes.
JP Nicola s’est d’abord rendu célèbre dans le milieu astrologique par sa découverte de la théorie des Ages. Au lieu de mettre en rapport les âges de la vie avec les sept planètes traditionnelles selon le découpage établi par Ptolémée au début de notre ère – découpage allant de la Lune (enfance) à Saturne (vieillesse) en passant par Vénus (les premières amours), Soleil (la majorité), Mars (la force de l’âge) et Jupiter (l’âge mûr) -, JP Nicola établit un rapport entre les âges de la vie et les révolutions planétaires. Ainsi, Jupiter, qui domine à partir de la fin du cycle de Mars (2 ans) jusqu’à l’âge de 12 ans, présente un mode de fonctionnement marqué par la pensée concrète. Le stade de la pensée abstraite , qui commence à 12 ans, est à relier à Saturne dont l’intelligence, précisément, est beaucoup plus analytique.
Outre les ouvrages de Jean-Pierre Nicola lui-même, on peut citer comme typiques de ce courant le Traité d’astrologie conditionaliste de Richard Pellard et le numéro spécial des Cahiers conditionalistes consacré à la pensée conditionaliste.
A titre d’illustration, prenons le thème de Gainsbourg. JP Nicola insiste en particulier sur la double dominante Vénus-Uranus : « Gainsbourg se définit comme un esthète et on veut bien le croire puisqu’il est né au lever de Vénus. Mais cette planète est dans le signe des Poissons et conjointe à Uranus. Lorsque l’on sait que le signe des Poissons incite à se détacher des conventions et que la fonction uranienne est de créer de nouveaux modèles, plus personnels, plus vrais, et donc plus excentriques souvent, on comprend que Gainsbourg se soit employé à créer et imposer une esthétique nouvelle. Cette configuration se retrouve d’ailleurs chez nombre de personnages qui ont su imposer une gueule a priori ingrate (Belmondo par exemple) ».
Il est intéressant de noter que le fondateur de l’astrologie conditionaliste explique la faiblesse du Bélier chez Gainsbourg par le fait de la valorisation du signe des Poissons. Pour lui, Poissons et Bélier ont des fonctionnements opposés : « Chez Gainsbourg, la volonté de vaincre et de s’imposer du Bélier est occultée par la passivité des Poissons, comme l’enthousiasme l’est par l’indifférence et l’optimisme par le désabusement. Ainsi le goût pour les entreprises nouvelles, pourtant si présent chez Gainsbourg, est-il contrarié ou voilé par le ‘à quoi bon’ (ne se définit-il pas lui-même comme un «aquoiboniste»?). De là, le mal de vivre et l’ennui littéralement mortel dont semble accablé Gainsbourg – tel le Poinçonneur des Lilas ».
C’est à cause de cette contradiction Bélier-Poissons que, d’un côté il affirme et exclut, et que de l’autre côté il nie et évite les contraires. Cela explique que les déclarations d’opposition de Gainsbourg étaient suivies de non-déclarations. Pour Nicola, on peut résumer la contradiction de Gainsbourg selon la formule « rien c’est tout, et tout c’est rien ». Françoise Hardy, formée à l’astrologie par Jean-Pierre Nicola, demanda un jour à Gainsbourg ce qu’il pensait de cette formule et il la trouva juste.
Jean-Pierre Nicola analyse enfin ce thème comme une parfaite illustration d’une dominante de signes d’équinoxes marquée par le choc des contraires. Il souligne aussi que l’absence de planètes dans le signe de la Balance met celui-ci en relief et expliquerait l’attrait de Gainsbourg pour des femmes natives de ce signe comme Brigitte Bardot ou Catherine Deneuve.
P.S. Jean-Pierre NICOLA nous a quitté en octobre 2022. Voici, en guise d’hommage, le texte que j’avais écrit le 1er novembre 2022.
Jean-Pierre Nicola est l’une des grandes figures de l’astrologie contemporaine. Il a réussi à imposer un nouveau courant, celui de l’astrologie conditionaliste. Une astrologie qui prend en compte l’environnement du consultant et qui s’appuie sur l’astronomie et les sciences humaines. J’ai été très proche de lui pendant une trentaine d’années de 1963 à 1993. Je lui dois beaucoup. Nous lui devons beaucoup.
Jean-Pierre a d’abord fait partie de la section « Psychologie » du Centre International d’Astrologie (CIA). Ce groupe se réunit sous la houlette d’André Barbault tous les samedi 77 rue Mouffetard. On y discute de tout ce qui concerne l’astrologie mais tout particulièrement des liens entre l’astrologie et la caractérologie, la psychanalyse et les tempéraments. Jean Carteret, « l’âme » de ce groupe encourage Jean-Pierre à développer son approche, conseil qu’il s’est empressé de suivre. Jean-Pierre appréciait tout particulièrement ce grand poète né le 27 mars 1906 à 10h selon l’état-civil (à 9h40 d’après lui) dont le thème ressemblait à bien des égards à celui de Francine, sa mère née 4 jours plus tôt le 23 mars 1906 à 9h à Nice. A noter que ces deux thèmes et le thème de Jean-Pierre ont la dominante commune d’un trigone Saturne-Neptune (voir les thèmes ci-dessous).
Jean-Pierre ne voyageait pas beaucoup. Mais à 27 ans – Neptune est en sextile de lui-même – il fait un voyage dans le Hoggar et c’est inspiré par le ciel de Tamanrasset qu’il commence à écrire son premier livre La Condition Solaire. Il eût du mal à trouver un éditeur : c’est seulement neuf ans plus tard sous le retour de son trigone natal Saturne Neptune qu’il réussit à le publier aux Editions Traditionnelles. Ce livre révolutionnaire met non seulement en rapport les 24 types de Pavlov avec les douze signes du zodiaque mais il propose de nouvelles théories, notamment la Théorie des Ages et le R.E.T. (Représentation-Existence- Transcendance). Tout cela est maintenant bien connu.
Jean-Pierre s’est intéressé à tous les aspects de l’astrologie. Ce praticien de l’astrologie individuelle comme de l’astrologie mondiale avait l’humilité de me faire part de ses rares échecs prévisionnels ; c’est, me disait-il, la compréhension de mes erreurs qui me permet d’améliorer mes interprétations.
1964 : Jean-Pierre est en train d’écrire son cours par correspondance où il développe non seulement les grandes règles de l’interprétation mais également la théorie des Ages, les cycles planétaires, les signes selon le zodiaque réflexologique. J’ai la chance avec Christine Saint-Pierre de suivre ce cours tout à fait novateur et de bénéficier lors des corrections des exercices de ses précieux conseils.
Jean-Pierre avait pour maître Ptolémée et Kepler. Il maîtrisait parfaitement l’astronomie. Et pour mieux comprendre – et faire comprendre – la dimension astronomique de l’astrologie, il avait fait réaliser une grande sphère armillaire par le père de l’astrologue humaniste Jean-François Berry qui était forgeron. Cette sphère – qu’il appelait « Coco » – permettait de visualiser le thème astrologique en trois dimensions, de comprendre ce qu’était les uns par rapport aux autres, les plans de l’horizon, du méridien, de l’écliptique et de l’équateur céleste. Nous pouvions par exemple nous rendre compte concrètement de ce qui diffère lorsque l’on naît près de l’équateur ou près du cercle polaire.
L’astrologie commence à s’informatiser à la fin des années 60. Jean-Pierre conçoit pour Astroflash une étude de caractère pour les enfants tout à fait remarquable. Il met au point une grille qui lui permet de repérer dans un thème les quatre planètes les plus importantes ainsi que le signe le plus fort. Il développe sur une cinquantaine de lignes les convergences et les antagonismes qui existent entre ces quatre planètes, le signe dominant étant interprété en fonction des caractéristiques de ce quatuor planétaire. Je considère ces 210 portraits planétaires comme de véritables chefs d’œuvre qui mériteraient d’être publiés tant ils sont d’une justesse et d’une précision étonnante.
Il est également à l’origine de l’étude Révolution solaire qui a largement contribué à la réussite d’Astroflash. La constitution de trois grilles très détaillées (celles du natal, de la RS, du transit de la RS sur le Natal) permet d’analyser les multiples configurations en jeu, de les hiérarchiser et d’interpréter celles qui ont le plus d’importance de manière globale et dans six domaines particuliers.
Jean-Pierre pouvait avoir la dent dure, ce qui était très utile quand il s’agissait de défendre l’astrologie. En 1972 Gerald Messadié publie Le zodiaque a 24 signes. C’est un ouvrage hostile à l’astrologie et qui s’efforce de la ridiculiser. L’auteur est invité à à la télévision pour parler de son livre en présence d’un astronome et d’un astrologue (en l’occurrence Monsieur X). C’est Jean-Pierre l’astrologue sans nom… Très vite Jean-Pierre prend la parole et interpelle l’auteur en lui assénant : Monsieur Gerald Messadié ou vous êtes un génie ou vous êtes un âne. Comme le précise La Connaissance des Temps – la bible des astronomes – un signe comporte 30°, alors ou vous avez inventé le cercle avec 720° et là je dois m’incliner devant le génie, ou vous dites n’importe quoi et vous méritez le bonnet d’âne. Heureusement qu’il y avait un astronome pour prendre le relais car Gérald Messadié, pris à contrepied, n’osa plus du tout prendre la parole pendant tout le reste de l’émission, de peur sans doute d’être à nouveau ridiculisé…
C’est au sein du Centre d’Enseignement et de Formation à l’Astrologie (CEFA) que Jean-Pierre va commencer à diffuser ses idées. Tout un petit groupe – avec en tête Max Lejbowicz – va l’inciter à affirmer son courant et c’est ce qu’il va entreprendre à partir de 1974. Cela commence lors des Journées Internationales Astrologiques de Paris organisées fin septembre 1974 à l’hôtel Méridien par le CIA, Jacques Halbronn et l’ISAR (International Society for Astrological Research) où Max Lejbowicz et moi-même aidons notre « maître » à défendre les idées de l’astrologie conditionnelle (qui deviendra plus tard l’astrologie conditionaliste).
On peut tout à fait suivre le développement de ses idées au fil des articles publiés dans les Cahiers conditionalistes, la revue du COMAC (Centre d’Organisation des Méthodes d’Astrologie Conditionaliste). 27 numéros sont parus entre 1980 et 1998.
Françoise Hardy qui a suivi les cours du CEFA avait beaucoup d’estime pour Jean-Pierre. Elle lui propose au début des années 80 une collaboration à Radio Monte Carlo (RMC) dans le cadre de l’émission Les signes du destin. Un écrivain raconte la vie d’un personnage célèbre et de temps à autre Françoise Hardy intervient en lisant l’interprétation du thème de ce personnage rédigée par Jean-Pierre. Nous avons la trace de ces interprétations dans la série remarquable des douze signes du zodiaque publiée aux Editions du Rocher/RMC. Cette collaboration s’est muée en une profonde amitié. La preuve : Jean-Pierre fut en mars 1981 le témoin de Françoise Hardy lors de son mariage avec Jacques Dutronc et si, je ne me trompe, Françoise Hardy fut la même année la témoin de Jean-Pierre lors de son mariage avec Yen.
Jean-Pierre a publié après l’Astrologie moderne parue au Seuil (1977) toute une série de livres aux Editions Tchou : d’abord Le grand Livre du Taureau (1979), puis Le grand Livre de l’Astrologue (1983), Pluton (1985), Neptune (1987) et en dernier lieu Le grand livre des prévisions (1992).
Entre temps, en 1986, il avait conçu et dirigé chez Albin Michel un des ouvrages qui, à mon avis, fera date dans l’Histoire de l’Astrologie : L’Astrologie Universelle. Françoise Hardy a aidé au succès de ce livre auquel ont collaboré Richard Pellard, Philippe Pinchon et Bernard Blanchet. On trouve notamment pour chaque signe six interprétations différentes en fonction des familles du RET. Je n’ai cessé depuis 1986 de conseiller à mes élèves d’utiliser dans leurs interprétations ces 72 textes tout à fait novateurs et remarquablement rédigés.
Une anecdote qui montre la vérité de ce proverbe « Ce sont toujours les cordonniers les plus mal chaussés ». J’avais invité Jean-Pierre à donner une conférence à l’ARRC en mai 1982. Jean-Pierre était passé maître dans la hiérarchisation des planètes et il accordait toute son importance à la planète qui venait en dernier, celle qui a le moins d’aspects (ou qui n’en a pas du tout). Il l’appelait la planète aveugle. Elle représentait l’ombre, ce par quoi ou par qui nous sommes fascinés. Sans arrière-pensée, je lui demande à la fin de la soirée : quelle est dans ton thème la planète aveugle ? Pas de réponse… Je lui suggère alors : ne serait-ce pas Uranus ? Et il admet qu’il a un temps été fasciné par l’uranien André Barbault et que maintenant il est sous le charme de l’uranienne Françoise Hardy.
Les astrologues ont pendant longtemps reproché à Jean-Pierre d’être « matérialiste ». C’était absolument faux. Il en a donné la preuve lors du congrès Astrologie et Spiritualité organisé par le COMAC et l’ARRC en 1992. Pendant deux jours une bonne quinzaine d’astrologues ont mis en commun leur approche sur la spiritualité de l’astrologie. Je me souviens tout particulièrement de la table ronde où, loin du cliché – les signes printaniers sont plus instinctifs tandis que les signes hivernaux plus spirituels -, douze astrologues ont témoigné de la dimension spirituelle de chacun des douze signes du zodiaque. J’évoquai à la fin de ce congrès cette phrase que Jean-Pierre m’avait écrit dans une lettre reçue en 1965 : « Quand toutes les choses seront à leur place… peut-être verra-t-on la place essentielle de l’Etre ».
Ce n’est pas sans émotion que j’ai écrit toutes ces lignes. Jean-Pierre m’a encouragé dès mon adolescence à devenir astrologue. Il m’a apporté son aide en me formant, en corrigeant mes premières interprétations, me mettant ensuite le pied à l’étrier en me confiant des thèmes à interpréter, puis en m’incitant à donner des cours au CEFA comme à prononcer ma première conférence au congrès de l’hôtel Méridien. Je lui dois beaucoup.
Un grand merci pour ce que tu m’as apporté et ce que tu as apporté à la communauté astrologique.